Hoarau parle de sa situation et de PSG/OM

Son choix de Berne :

« Cela a failli se faire à Saint-Etienne, cela ne s’est pas fait dans les dernières secondes, je ne sais pas moi-même pourquoi. Je revenais de Chine et cela faisait peur aux clubs. A Bordeaux, j’ai mis trois buts en quatre mois et demi donc je comprends les clubs. Avec mon salaire, c’était un pari assez risqué. En fin de mercato, il fallait faire un choix rapide et réfléchi. Quand les Young Boys m’ont appelé, je n’étais pas super chaud mais je suis allé visiter et cela m’a plu. 

J’ai été surpris pas le niveau, on voit sur la scène européenne que les équipes peuvent rivaliser. Je suis arrivé dans un contexte où on me dit de prendre du plaisir et cela se passe bien. »

PSG/OM :

« C’était un super match, Marseille a fait une bonne entame et après, là-bas, c’est Paris... Ils récupèrent leurs forces et ils montent en puissance. Après un début de saison bizarre où les joueurs n’étaient pas tous en forme, c’était un peu compliqué et je sais ce que donne la pression à Paris.
C’était un super match. J’en regarde très peu à la télé mais celui-là valait le détour et je suis très fier de ce qu’ont fait les joueurs parisiens. Il fallait le faire et, là, je pense que c’est parti. »

La méforme relative de Cavani :

« Je ne sais pas si ça s’explique. Ce genre de situations, cela arrive à tout le monde et cela montre qu’il reste un être humain. T’as envie de faire les choses bien mais, dans une période défavorable, tout ce que tu as réussi le match d’avant part dans l’autre sens. Ce sont des périodes compliquées. En plus, il n’a pas un numéro facile à porter parce que le dernier à l’avoir porté à Paris était pas mal (rires). »

Son trio de tête en L1 :

« Paris, Lyon parce qu’il y a mon Jaja [Jallet] et Marseille parce qu’il y a Dimitri [Payet]. »