Marquinhos et Choupo-Moting réagissent au tirage Borussia Dortmund

Le PSG défiera le Borussia Dortmund en 8e de finale de Ligue des champions et pour Marquinhos, ce sera une grande première puisqu'il n'a encore jamais affronté cet adversaire dans sa carrière : «C’est un très bon adversaire (dans le sens une équipe forte, ndlr). Ce sera la première fois pour moi contre Dortmund. On sait qu'en Ligue des Champions on va affronter des équipes de haut niveau, qui sont habituées à jouer cette compétition. La vraie Ligue des Champions commence», a ainsi confié le Brésilien en zone mixte.

Ancien joueur de Schalke 04, le grand rival allemand de Dortmund, Eric Maxim Choupo-Moting connaît lui très bien cette équipe, à l'instar aussi de Julian Draxler et Thilo Kehrer : «Ce tirage ? Ah moi, j’aime bien. On revient en Allemagne. Il y aura une très bonne ambiance, c’est un grand club, a confié l'international camerounais. Ce sera difficile, mais nous on a confiance en nous. Et puis il y a une histoire spéciale comme notre coach vient de Dortmund. Moi j'ai joué à Schalke, c’est le plus grand derby en Allemagne, donc c’est un plaisir de jouer contre eux, mais bien sûr, il faut gagner. Le mur jaune ? Il est spécial, c'est vrai. Mais franchement je n'ai pas envie de parler trop en positif de Dortmund... Mais il y a une bonne ambiance là-bas.»

Marquinhos a aussi rappelé que le PSG avait du temps avant de penser à ce match, puisque son équipe jouera entre 9 et 13 rencontres avant de défier le BvB : «On a le temps d’y penser. On sait que c’est une équipe qui court beaucoup, qui a beaucoup d’intensité. Ils attaquent, il y a beaucoup de joueurs qui ne regardent pas les efforts qu’ils font. Il font les efforts vers l’avant. Le coach va nous donner les points à neutraliser, à exploiter, mais tranquille, on a le temps pour penser à ce match. On a des choses importantes à faire d’ici-là. Il ne faut pas qu’on pense déjà à ce match. Il faut continuer avec cette intensité et à être performant. C’est comme ça qu'on va préparer ce match».

Interrogé mardi sur ce tirage, Thomas Tuchel a lui reconnu qu'il s'agissait d'un adversaire «spécial» pour lui.