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Pour Ceferin, « la Ligue 1 n’est pas forte » et pénalise le PSG

Publié le mardi 3 mai 2022 à 9:22 par Luca Demange
Dans un long entretien accordé au média croate Sportske, le président de l’UEFA Aleksandr Ceferin n’a pas hésité à envoyer un tacle sur le niveau de la Ligue 1, un facteur pour expliquer les échecs du PSG sur la scène européenne d’après le dirigeant de l’instance européenne.
Dans un long entretien accordé au média croate Sportske, le président de l’UEFA Aleksandr Ceferin n’a pas hésité à envoyer un tacle sur le niveau de la Ligue 1, un facteur pour expliquer les échecs du PSG sur la scène européenne d’après le dirigeant de l’instance européenne.

Venu assister à une rencontre amicale entre l'Hadjuk Split et le club ukrainien du Shakhtar Donetsk, Aleksandr Ceferin s'est arrêté au micro du média croate Sportske. L'occasion pour le président de l'UEFA d'aborder de nombreuses thématiques mais aussi de sortir la tronçonneuse au moment d'aborder la Ligue 1. Éliminé en 1/8es de finale face au Real Madrid, le PSG a connu un nouvel échec sur la scène européenne. Un échec multifactoriel que le dirigeant de l'instance du football tente aussi d'expliquer par le faible niveau du championnat français. La Bundesliga est d'ailleurs logée à la même enseigne. 

« Ces deux ligues ne sont pas fortes, c'est vrai. Le PSG et le Bayern sont dominants dans leur championnat. Ils n'ont pas de réelle compétition dans leur pays. Par exemple, il y a plus de concurrence en Italie mais ils ne sont pas solides financièrement », lance le slovène. L'argument d'une concurrence moins compétitive n'est bien sûr pas invoquée pour la première fois par le dirigeant de l'UEFA. Reste toutefois à dire que cela n'avait pas empêché les deux clubs qu'il évoque de se retrouver en finale de Ligue des Champions à l'été 2020. 

Ceferin en profite pour remettre une salve sur la Super League

Visiblement très bavard au micro du média croate, Aleksandr Ceferin en a aussi profité pour réaffirmer son opposition au projet de Super League qui était rapidement redescendu et dont l'on entend beaucoup moins parler ces derniers temps : « C'est fini. Ils essaient de satisfaire un peu plus leur ego, mais ça ne pourrait jamais marcher de toute façon », juge le dirigeant de 54 ans, qui avait été bien content de trouver le soutien du PSG et de son président Nasser al-Khelaïfi au moment de désamorcer la bombe l'an dernier.


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