Luis Enrique après Dortmund/PSG (1-0) : « A Paris, on sera très forts et on n'a rien à perdre »

Avec autant d'occasions ratées par le PSG, est-ce de la malédiction, de la malchance ? 

« C'est le football. Beaucoup de fois, c'est merveilleux. D'autres fois, ça se passe comme ça. C'est vrai qu'on s'est créé beaucoup d'ocacsions et on aurait préféré être dans une meilleure situation mais il faut analyser les occasions des deux équipes. Ça a été une partie équilibrée. »

Quelle était l'idée avec le positionnement d'Ousmane Dembélé ?

« Ousmane, avec sa manière de défendre, on savait qu'il pourrait clairement défendre sur Emre Can et leurs trois défenseurs avec nos trois attaquants, plus un pivot. On voulait avoir un peu de profondeur derrière et bloquer les longs ballons sur Füllkrug. »

Vous avez des bonnes nouvelles pour Lucas Hernandez (NDLR : sorti avant la mi-temps en se tenant le genou) ?

« Je n'ai aucune nouvelle de Lucas Hernandez. Ça n'a pas l'air très positif mais on va attendre que les docteurs l'analysent. »

Vous gardez le sourire pour le match retour ?

« Bien sûr ! Tout le monde savait que ce ne serait pas facile, c'est une demi-finale de Champions League. Le vestiaire est un peu affecté parce qu'on a en plus eu une action avec deux poteaux. On a vu nos 4000 supporters qui nous ont supporté tout le match, c'est aussi un stade exceptionnel qui a su supporter son équipe. A Paris, on sera très forts et on n'a rien à perdre. »