Maxwell avant PSG/OM : «Tous les feux sont au vert pour ce choc »

L'état d'esprit du groupe avant PSG/OM :

« La confiance est une de nos forces. C’est grâce au fait que nous travaillons tous les jours. Nous savons tous les efforts à accomplir chaque jour pour être de plus en plus performant et c’est ce qui nous permet d’avoir la confiance que nous avons actuellement. Qu’on perde ou qu’on gagne, nous allons tout faire pour continuer sur le chemin de la victoire et pour refaire notre retard sur Nice, qui est en tête du classement. Pour le moment, nous sommes donc confiants. Tous les feux sont au vert pour ce choc. »

Son premier PSG/OM :

« Le premier classique, c’était le 2-1 avec la tête d’Alex... oui, je me rappelle ! C’est la première fois que j’ai senti cette ambiance différente. Je ne connaissais pas cette ambiance spéciale entre les deux formations. Nous avons gagné avec ce but d’Alex, les supporters étaient euphoriques ! C’est toujours beau de battre le rival marseillais et de connaître une telle ferveur dans notre stade. Il y a toujours beaucoup d'adrénaline. Nous parlons toutes les semaines de ce Classico. Ce sentiment de boule au ventre, c’est important pour les grands matches. »

L'OM/PSG de 2013, quand il marque à 10 contre 11 :

« Je savais que ce but était important, car nous étions à dix, dans la difficulté après avoir perdu un joueur qui dicte le tempo comme Thiago Motta. Mais, juste avant la mi-temps, nous marquons ce but qui nous permet de respirer et d'essayer de gagner en infériorité numérique. Après l’égalisation, nous sommes revenus au vestiaire. Nous avons discuté de la situation pour pouvoir réagir et s’organiser pour gagner. A la fin du match, Zlatan (Ibrahimovic) marque le deuxième but. Nous avons ensuite bien joué jusqu’à la fin du match, et on avons eu beaucoup de mérite. Notre joie était énorme à ce moment-là. C’est magnifique ! Mon meilleur souvenir est ce but, mais je pense que cette victoire à Marseille nous a fait du bien. Elle nous a montré que nous étions capables de bien jouer, même en infériorité numérique. Elle nous a permis de détecter une des forces de l’équipe. »