A Ibiza, Verratti n'a pas rencontré Messi, mais bien le Barça (Sport)

Marco Verratti est actuellement en vacances à Ibiza et de nombreuses rumeurs entourent le séjour de l'Italien dans les Baléares, quelques jours après qu'il ait exprimé par la voix de son agent ses envies de départ du PSG à Antero Henrique. Depuis, la presse espagnole suit le joueur parisien dans ses moindres faits et gestes et ses vacances à Ibiza sont analysées. Ce mercredi soir, un paparazzi interrogé par la radio espagnole Cadena COPE annonçait par exemple que Verratti était en train de faire une soirée avec Lionel Messi, relançant les plus folles rumeurs concernant le transfert éventuel de Verratti au Barça.

Le journal sportif catalan Sport a enquêté et les deux hommes n'étaient finalement pas ensemble, Verratti passant plutôt la soirée en compagnie de son coéquipier en club Javier Pastore, cf. la photo ci-dessus des deux hommes ensemble publiée sur les réseaux sociaux. L'agent de l'Italien, le fameux Donato Di Campli, était également présent, de même que l'ailier de l'Inter Antonio Candreva, partenaire en sélection. Mais si Verratti n'a pas croisé Lionel Messi ce mercredi soir, il a en revanche eu un premier contact avec le FC Barcelone selon Sport.

Le club catalan que Verratti souhaite rejoindre a envoyé Javier Bordas sur l'île des Baléares où réside actuellement le joueur et un meeting informel a eu lieu entre les deux parties. Bordas et le clan Verratti se connaissent déjà et la rencontre aurait duré plus d'une demi-heure au coeur de la soirée. Tout se serait bien déroulé selon le média catalan qui indique que le joueur comme son agent auraient fait preuve de leur détermination maximale à rejoindre le Barça cet été. Reste que le PSG n'est toujours pas vendeur comme le rappelle Sport qui annonce aussi qu'un deuxième rendez-vous pourrait avoir lieu dans les prochains jours entre Verratti et le Barça.

De son côté, l'agent du joueur Donato Di Campli a tenu à partager cette photo de lui en boîte de nuit accompagnée d'un message énigmatique : «Juste une chose...»