Al-Khelaïfi : « Nous verrons cet été ce dont nous avons besoin pour équilibrer l'effectif »

C'est un Nasser Al-Khelaïfi plutôt bavard qui a répondu aux nombreuses questions de Marca vendredi soir, de son rôle de président du PSG à la question du stade, en passant également par l'évolution du club parisien depuis l'arrivée de QSI, en 2011. Le dirigeant qatari de 49 ans a également été interrogé sur l'avenir de trois stars de l'effectif, à savoir Kylian Mbappé, Lionel Messi et Sergio Ramos.

« Nous travaillons pour qu'ils prolongent »

« Nous avons la chance d'avoir certains des meilleurs joueurs du monde, qui voulaient jouer pour le PSG malgré les offres d'autres clubs. Nous travaillons pour qu'ils prolongent. Nous allons analyser ce que nous faisons et comment nous assurer que nous pouvons continuer, que nous faisons les choses correctement et que nous nous développons. Nous n'allons pas faire d'erreurs », a lâché Nasser Al-Khelaïfi, dans des propos rapportés par Marca.

Pour rappel, Kylian Mbappé est lié au PSG jusqu'en 2024, avec une saison supplémentaire en option, activable à sa propre discrétion. De leur côté, Lionel Messi et Sergio Ramos voient leur contrat avec le club de la capitale française expirer le 30 juin prochain, soit à l'issue de la saison en cours. Contrairement à l'Espagnol, l'Argentin dispose dans son contrat d'une saison supplémentaire en option, activable d'un commun accord entre le joueur et le club.

Al-Khelaïfi évoque la volonté d'équilibrer l'effectif

Par ailleurs, Nasser Al-Khelaïfi, sur une ligne toujours très sereine et positive, s'est également projeté sur le mercato estival prochain, avec un axe de travail déjà défini : « Nous verrons cet été ce dont nous avons besoin pour équilibrer l'effectif. Je ne suis pas du tout inquiet pour la période de transferts. Je suis très fier des étoiles montantes : Warren Zaïre-Emery, El Chadaille Bitshiabu, et les autres ».

À noter que l'interview complète accordée par Nasser Al-Khelaïfi à Marca est à retrouver ci-dessous. Le doublage en espagnol rend toutefois difficile la compréhension des propos du président du PSG, d'où notre retranscription quelque peu parcellaire.