Il est « trop tôt » pour discuter de l'avenir de Zlatan selon Blanc

En fin de contrat avec le PSG en juin 2016, Zlatan Ibrahimovic réalise actuellement une de ses meilleures saisons à Paris et la question de sa prolongation se pose très régulièrement. Si les joueurs parisiens se prononcent de plus en plus en faveur de cette solution, le coach parisien Laurent Blanc a quant à lui expliqué qu'il était trop tôt pour en parler durant la conférence de presse du jour.

L'entraîneur du PSG a plus ou moins répété ses propos d'il y a quelques semaines : « Il y aura une réflexion comme je l'ai dit il y a deux mois. Laissez avancer un petit peu le temps. Est-ce qu'il y aura le même technicien d'abord ? Il y a pas mal d'interrogations donc laissons un peu de temps passer et quand cela sera le moment, il y aura une réflexion et je pense, j'en suis même sûr, que je participerai à cette réflexion. C'est un petit peu trop tôt mais il faudra s'y pencher. »

Blanc a ensuite tenté de dédramatiser le sujet en rappelant que le Suédois n'est pas le seul joueur qui va être en fin de contrat au mois de juin puisque Van der Wiel, Lavezzi, Douchez sont dans ce cas. Le journal Le Parisien évoquait d'ailleurs il y a peu l'éventuelle prolongation du troisième gardien et Blanc a placé le PSG au même niveau que les autres clubs : «Ce n'est pas propre au PSG, c'est normal de s'y pencher. Il y a des dossiers, il n'y aura pas que celui-là d'ailleurs, il y en aura d'autres à traiter. On va voir un petit peu avec la direction comme on l'a fait l'année dernière et comme on le fait chaque année. On se penchera sur le mercato d'été qui est beaucoup plus intéressant que le mercato d'hiver.»

S'il est donc trop tôt pour évoquer l'avenir de Zlatan, Blanc avait malgré tout évoqué le sien samedi dernier en conférence de presse, annonçant du nouveau dans la semaine. Aujourd'hui, il a temporisé : «Oui, dans quelques jours, une semaine. Si le club ou le technicien ne vous dit rien, c'est qu'on a rien à vous annoncer pour l'instant. Ne soyez pas impatients, on n'est pas à quelques jours prêts. Un pourcentage ? Non, ça, je vous le laisse. »