Ekitike s'est rapproché de Francfort

A 10 jours de la fin du mercato hivernal et alors qu'il est prévu depuis des mois qu'il va partir, Hugo Ekitike est toujours un joueur du PSG mais il se rapproche peu à peu de la porte de sortie. Comme L'Equipe l'avait laissé entendre il y a quelques jours, l'attaquant français de 21 ans s'est mis d'accord avec son poursuivant le plus assidu, le club allemand de l'Eintracht Francfort.

Selon le média d'outre-Rhin Sky, l'attaquant a accepté une énorme réduction de salaire mais a réussi à trouver un terrain d'entente. Des 7 millions d'euros brut annuels qu'il gagnerait à Paris, il ne toucherait plus qu'un peu plus de 3 millions d'euros en Allemagne, soit une baisse de pratiquement 4 millions d'euros pour se mettre d'accord avec le club allemand dont la grille salariale et bien évidemment très loin de celle du PSG.

Côté Francfort, il faut toutefois encore se mettre d'accord avec le club parisien et ce sera probablement une partie assez compliquée même si Paris est ouvert à un départ de son avant-centre qui n'a plus joué depuis le mois d'août. Toujours selon la chaîne Sky, les négociations entre les deux clubs vont vraiment commencer prochainement. En Allemagne, Wolfsburg a déjà fait une offre de prêt au club de la capitale mais aucun d'accord n'existe avec le joueur et Paris n'a pas accepté cette proposition non plus.

En France, Téléfoot a aussi évoqué le cas de Hugo Ekitike ce dimanche et est allé dans le même sens que Sky dans l'ensemble. Il a également été annoncé que Francfort est le club préféré du joueur en cas de départ cet hiver. Mais selon l'émission dominicale de TF1, le PSG attendrait une trentaine de millions d'euros pour lâcher son joueur, une somme qu'il ne va pas être facile d'obtenir vu le parcours parisien de l'avant-centre formé à Reims.

A noter que les dirigeants de Francfort ont confirmé publiquement leur intérêt pour Ekitike ce dimanche, tout en précisant qu'ils ne feraient pas de folies financières pour lui. Avec les 90M€ de Kolo Muani dans les comptes, ils en ont pourtant largement les moyens.