La piste PSG confirmée pour Sangaré, son prix assez flou

Déjà cité dans le viseur du club parisien l'été dernier alors que Paris cherchait à renforcer son milieu de terrain, Ibrahim Sangaré est toujours dans le viseur du PSG selon les échos néerlandais du jour. Aussi bien le journal local ED que Voetbal International assurent que le milieu défensif de 25 ans est toujours suivi par le PSG. L'entourage du joueur ivoirien a directement confirmé aux deux médias cet intérêt parisien pour le milieu de terrain d'1,91m.

Il est acquis qu'il s'agira de la dernière saison de Sangaré avec le PSV, trois ans après son arrivée en provenance de Toulouse contre 9M€, et le milieu ne manque pas de courtisans puisqu'ils sont quelques clubs de Premier League à être sur le dossier, en plus de Paris. Les clubs intéressés veulent désormais savoir combien va demander le PSV pour un joueur sous contrat jusqu'en juin 2027 après avoir prolongé l'été dernier malgré des approches de clubs de très bon niveau (PSG, Chelsea, etc).

Une clause pour partir, mais un joueur qui pourrait coûter moins cher que prévu

C'est là que la presse néerlandaise se divise légèrement. Du côté d'ED, plutôt proche de la direction du PSV, on affirme qu'il faudra payer le montant de la clause libératoire de Sangaré fixée à 37,5M€, une clause qui ne serait valable que jusqu'à une date précise de l'été, par ailleurs non précisée. Mais plus tard dans l'intersaison, le PSV pourrait malgré tout lâcher son joueur pour peu que la somme convienne aux dirigeants d'Eindhoven selon le média local.

Du côté de Voetbal International, on confirme le montant de la clause mais on évoque aussi un possible prix au rabais : « Il est probable que les dirigeants d'Eindhoven commenceront à discuter avec des offres entre 25 et 30M€ ». Si la valeur du joueur n'est finalement pas aussi haute que sa clause libératoire, c'est possiblement aussi car la saison de Sangaré est assez mitigée. Il est toujours un titulaire mais a même fait un passage de trois matches sur le banc de touche début avril. Côté PSV, les finances ne sont pas forcément à leur meilleur non plus, d'où cette possibilité de payer moins que la clause libératoire.