Pastore : « Ma prolongation ne dépend pas que de moi »

Sa forme :

« 2014 est finie est pour moi, je ne jouerai pas samedi mais ce n’est pas grave, ce n’est pas une blessure très importante. Je reviens ici dans les premiers jours de 2015 et je recommencerai avec l’équipe tranquillement. »

L’affrontement contre Chelsea :

« Le tirage, c’est la chance, ce n’est pas bon ou pas bon. Nous avons un match difficile contre Chelsea mais nous avions fait un très bon match ici à domicile. Après, à l’extérieur, c’était un peu moins bien mais le plus important c’est que nous savons que nous pouvons battre Chelsea ici. Cette année, avec un peu plus de confiance, nous pouvons les battre et passer en quart de finale.

Cette année, Chelsea a fait beaucoup mieux que l’an passé mais on continue à bien faire les choses. Nous avons passé les poules avec Barcelone et l’Ajax qui sont des grandes équipes qui jouent très bien au foot. Ce sont deux matches où nous aurons besoin d’être très bons pour passer.
Chelsea a plus d’histoire que le PSG mais nous aussi, nous voulons arriver à la même histoire et gagner des grands matches.

Sa prolongation :

« On est toujours en train de parler, ce n’est pas fini encore mais je ne pense pas à ça. C’est mon agent qui parle et je pense seulement à jouer. Maintenant, j’ai une semaine tranquille, de repos, et je vais parler avec lui pour regarder où nous en sommes.
Ce n’est pas fini encore mais j’espère rester à Paris. Cela ne dépend pas que de moi mais du président aussi. On doit tous arriver à un accord pour que je reste ici. « 

Laurent Blanc :

« Tous les entraîneurs sont différents. S’il est gentil et qu’il fait bien les choses avec les joueurs, c’est bien qu’il soit gentil. C’est possible que Thiago Silva ait trouvé le coach pas très gentil là-bas [à Guingamp] et qu’il ait déclaré ça mais c’est normal, nous avons perdu deux matches consécutifs et c’est l’entraîneur qui n’est pas bien. Il a très bien fait pendant ses deux années à Paris et c’est bien d’avoir gagné  [à Ajaccio] et de continuer à gagner. Comme ça, après, on n’en parle plus. »