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Numéro 51, bandage à la main, les confidences de Pacho

Publié le jeudi 16 janvier 2025 à 17:15 par Jean Chemarin
Débarqué au PSG l'été dernier en provenance de Francfort, le défenseur central équatorien Willian Pacho s'est confié au site officiel cette semaine et a fait deux petites confidences sur son numéro de maillot et son bandage à la main.
Débarqué au PSG l'été dernier en provenance de Francfort, le défenseur central équatorien Willian Pacho s'est confié au site officiel cette semaine et a fait deux petites confidences sur son numéro de maillot et son bandage à la main.

Le PSG a recruté quatre joueurs l'été dernier, dont Willian Pacho, premier Équatorien de l'histoire du club. Âgé de 23 ans, le défenseur central gaucher s'est rapidement imposé comme un titulaire indiscutable sous Luis Enrique et il est le deuxième joueur le plus utilisé par l'Espagnol depuis le début de saison (1962 minutes), juste derrière Achraf Hakimi (2019) mais devant une autre recrue estivale, João Neves (1794).

Rapidement adopté par les supporters parisiens, qui apprécient autant son agressivité dans les duels que son sourire contagieux, Willian Pacho s'est confié au site officiel du PSG cette semaine. Un entretien publié ce jeudi par le club dans lequel le natif de Quinindé explique notamment pourquoi il a choisi de porter l'original numéro 51 au PSG.

« Quand je réussis, je me ressers des mêmes choses »

« Parce qu’à l’Independiente del Valle, dans ma première équipe, j’avais le numéro 51, a confié le défenseur équatorien, superstitieux. Ça m’a bien réussi et quand je réussis, je me ressers des mêmes choses. Et aussi, parce que ma mère est décédée à l’âge de 51 ans, c’est pour ça que je porte toujours le 51. »

Comme Karim Benzema à sa main droite, Willian Pacho évolue toujours avec un bandage à la main gauche. Une histoire de superstition là aussi ? « Oui, on m’a beaucoup posé la question. À Anvers, en Belgique, je me suis fracturé une partie de la main. Et j’avais un plâtre. Je suis resté un mois avec le plâtre, en décembre je crois. Et puis, ils ont enlevé le plâtre au bout d’un mois et ils ont dû me mettre un bandage à la place. J’ai joué comme ça, avec un bandage. Ensuite, j’ai joué avec l’équipe nationale, j’ai marqué un but contre l’Australie (le 28 mars 2023, ndlr) et j’ai commencé à porter le bandage à chaque fois à partir de là, parce que je me sentais bien avec. Et maintenant, chaque fois que je vais jouer, pour me sentir bien mentalement, je porte toujours un bandage. »


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