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Un rapport confirme des erreurs d’arbitrage lors de la « remontada » en 2017

Publié le jeudi 23 mars 2023 à 10:48 par Kevin Monaci
En pleine tourmente avec la justice espagnole pour une affaire de corruption d'arbitre avec Barcelone, José Maria Enriquez Negreira a livré un rapport confirmant des erreurs d’arbitrage lors de la « remontada ». N’étant pas affilié avec l’UEFA, il n’a toutefois aucun lien avec ces fautes.
En pleine tourmente avec la justice espagnole pour une affaire de corruption d'arbitre avec Barcelone, José Maria Enriquez Negreira a livré un rapport confirmant des erreurs d’arbitrage lors de la « remontada ». N’étant pas affilié avec l’UEFA, il n’a toutefois aucun lien avec ces fautes.

Six ans après, le Barcelone/PSG de mars 2017 continue de faire parler. Aussi anecdotique qu’il soit, un rapport a confirmé les erreurs d’arbitrage lors de la fameuse « remontada » du Barça face aux Parisiens en Ligue des Champions (6-1). Alors que la justice espagnole travaille d’arrache pied sur l’affaire Negreira - vice-président du comité technique arbitral espagnol visé par une enquête pour avoir bénéficié de versements suspects de la part du Barça - un document concernant cette rencontre a fuité.

Le dossier, co-écrit par José Maria Enriquez Negreira et son fils, présente et analyse les différentes fautes d’arbitrage ayant eu lieu lors de ce match. Selon lui, pas de doute, l’arbitre allemand de la rencontre, Deniz Aytekin, a bien commis deux erreurs défavorables au PSG. La première étant que l’arbitre aurait dû siffler pénalty et infliger un carton rouge pour une faute de Javier Mascherano sur Angel Di Maria à la 84e minute. La seconde concerne le litigieux penalty accordé à Luis Suarez, qui permet au Barça de revenir à 5-1 à la 89e minute.

Negreira n'a aucun lien avec l’UEFA

José Maria Enriquez Negreira, bien qu’inculpé pour « corruption entre particuliers dans le secteur sportif », « abus de confiance » et « faux en écriture de commerce » avec Barcelone, n’a aucune responsabilité dans ces erreurs. 

N’ayant aucun lien avec l’UEFA, l’ex numéro 2 de l’arbitrage espagnol n’a pas pu influer sur la décision de nommer Deniz Aytekin au sifflet de cette rencontre. Il aurait simplement été payé pour rédiger des rapports sur l’arbitrage des rencontres disputées par le Barça, dont celle face au PSG, d’où l’existence de ce dernier. 


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